Quitte à jouer les rabats-joie, on peut parier que ceux qui espèrent assister dans les mois qui viennent à un « big bang » de l’audiovisuel français précédé d’un bon débat public seront forcément déçus.
Quitte à jouer les rabats-joie, on peut parier que ceux qui espèrent assister dans les mois qui viennent à un « big bang » de l’audiovisuel français précédé d’un bon débat public seront forcément déçus.